Mais comment ça, la chasse ouvre
demain ? On ne m’a rien dit. Vite fourbir mes armes ; graisser mon
fusils, cirer mes bottes, nettoyer ma besace, préparer mes cartouches, appeler
Georges, nourrir mes chiens, remonter mon réveil, ma corne de brume, où est ma
corne de brume ? Mélanie, où est ma corne de brume ? Sans elle ma
journée sera moins efficace. Ça y est tout est prêt !
Demain, avec Georges, on va les
prendre à revers. Les aboiements des chiens, la corne de brume, des coups de
fusils à tord et à travers ; normalement, l’ouverture de la chasse devrait
être un fiasco complet !
Et comme on dit, ça promet ! ,-) jill
RépondreSupprimerEt en effet promesse tenue. Dans la précipitation, ce ne fut que nourrir mes armes, appeler mon fusil, remonter mes bottes, nourrir ma besace, nettoyer mes cartouches, fourbir Georges, cirer mes chiens et graisser mon réveil.
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