Voilà des heures que je travaillais d’arrache-pied à me
préparer pour atteindre mon but.
C’est sûr, je lui ferai manger son chapeau à cet olibrius
toujours tiré à quatre épingles et il allait avaler sa langue quand il me
verrait au bras de la demoiselle qu’il convoite. S’il n’avait jamais pris de
râteau de sa vie, celui-ci serait le premier et c’est moi qui allait le lui
infliger.
Bonne chance, gros jaloux !
RépondreSupprimerça c'est dit et qui s'y frotte s'y pique, NA!
RépondreSupprimerQuelle merveille ce mot "olibrius" ! C’est si délicieusement rétro et si charmant qu'on pourrait presque tout lui pardonner…
RépondreSupprimerKeremma