31 mars 2024

Sujet 87 - les participants

 




Le veuf   (Jill Bill)
L'oubli   (Lothar) 
L'absent  (Keremma)
Regrets posthumes  (J.Libert)
L’ambiance étrange de la scène désertée  (K)

Ad letum eternam  (L'Entille)

La lettre  (Fredaine)

 La vengeance  (Tarval)


30 mars 2024

Sujet n° 87 - Semaine du 30 mars au 6 avril

 Voici pour cette semaine !


l'image 







Le mot facultatif   oubli

 

  • Les textes, avec titre et signature, sont à envoyer à notre adresse :  

miletunesuite@gmail.com

Un fichier joint type Word facilite la publication.

  
  • Au plaisir de vous lire, bonne semaine,  merci.

;-)

Trésor / Lilousoleil

 Trésor



Les écureuils sont étonnants ; savez-vous que leur passion c’est la lecture ? Non alors lisez-bien cette histoire.

Dans une forêt verdoyante, sous un grand chêne, le chêne et le noisetier sont les arbres préférés des écureuils, ils ont à manger à foison et peuvent faire leurs réserves, vivait un écureuil nommé Filou. Cet écureuil était bien différent des autres écureuils : il n'aimait pas seulement collectionner des noisettes, il adorait lire. Sa petite maison dans l'arbre était remplie de piles de livres de toutes tailles et de toutes couleurs. Une vraie bibliothèque dont il était terriblement jaloux.

Chaque matin, Filou se réveillait avec l'envie de plonger dans un nouvel univers, de découvrir de nouvelles aventures entre les pages de ses livres préférés. Il se perdait souvent dans les histoires, imaginant voler avec des dragons ou explorer des contrées lointaines. Il était tous les héros à la fois : D’Artagnan, Astérix, Barbe bleue ou encore le Marquis de Carabas son préféré.

Un jour, alors qu'il se promenait dans la forêt, il trouva un livre abandonné sous un buisson. Ses yeux s'illuminèrent de joie en découvrant ce trésor inattendu. Il le prit dans ses petites pattes et courut vers sa maison pour le lire. Cependant il craignait que cet objet appartienne à Orson le plus grand, le plus gros et le plus impressionnant des ours qui partageait aussi son amour de la lecture ; Il avait dû s’endormir en le laissant là au pied d’un du grand chêne ou alors le coucou lui avait fait peur et l’avait abandonné là…

A peine avait-il commencé à tourner les pages que le pauvre Filou  entendit un bruit sourd derrière lui. Bien vu Orson, se présenta devant lui, réclamant SON  livre à grands cris. La peur au ventre Filou savait qu'il devait le lui rendre, même s'il ne voulait pas le partager. Question de survie ! 

Un travail d’approche et un flot de paroles apaisantes sortirent alors de la bouche de Filou.

Un grand rire explosa dans la forêt !

Filou et Orson se retrouvèrent bientôt dans une série de péripéties hilarantes alors que Filou tentait de récupérer son livre bien-aimé. Mais au bout du compte, ils apprirent tous les deux une précieuse leçon sur le partage et l'amitié.

Et depuis ce jour, on put voir dans quelque coin de la forêt, un écureuil sur le dos d’un ours qui lisent ensemble.

Le croirez-vous ? Moi oui !

D'après Chester et Grognon

 

La brouette et l’écureuil / Lothar

 



Une jolie brouette baignée de soleil ...

Au cœur de l'été,
Une brouette, qui a porté
À la sueur de l’écureuil roux,
À travers la frondaison,
Toute l’œuvre du monde ;
Qui l’a rangée au creux de l’arbre,
Qui l’a accumulée dans ses pores,
Journée après journée.

Une brouette,
Que toute l’œuvre du monde
Laisse s’encrasser sous sa racine,
En repos passif - mode survie,
Où elle crisse et dérouille fort,
Et se décorce en rang d’oignon.

Au cœur de l'été,
Une brouette, disais-je,
Qui renaît au soleil,
Donnant matière aux fées ...

Un plan pour l'hiver / Keremma

 


Mes noix et mes noisettes

Méritent un rangement

Bien pensé

Ces bouquins : Le matériau rêvé !

Bientôt je serai fier

De mes étagères !

 


Méprise / Fredaine

 




Un livre peut changer une vie qu’elle disait ...
J'ai toujours eu envie d'une vie meilleure
Alors ne soyons pas mesquin
Pourquoi se contenter d'un seul
J'ai pris tous ceux que j’ai pu trouver
Des rouges des bleus
Des p’tits des gros
Ça m'a pris un temps !
Le souci c'est que ça prend toute la place
Alors si jamais ça ne me plaît pas
Je vais mourir de faim cet hiver...
 

BONHEUR D’ÉCUREUIL / J.Libert

 


 
    Grigri, l’écureuil du cerisier d’en face, commence à faire provision d’hiver, non pas de noisettes , comme à son habitude. Il veut parer à l’ennui des longues heures sans sortir de son trou, mais aussi, dit il, s’instruire, parfaire ses connaissances.
 
    Alors, il  a pris un abonnement à la médiathèque du bourg, flambante neuve ; elle vient de s’agrandir.
 
    Jusque là, du haut de ses branches, il voyait aller et venir petits et grands autour de l’établissement et cela n’éveillait en lui aucune curiosité.
 
    Les pattes chargées de livres, Grigri a peut être eu les yeux plus grands que le ventre ne sachant quel auteur lui apporterait  la réponse à la grande question de sa vie  et de sa survie.
 
    Durant plusieurs semaines, le nez plongé dans la lecture, il en oublie le boire et le manger. Au milieu de ces amoncellements livresques, c’est à peine s’il ose et peut encore bouger. Oui, c’est vrai, de bonnes et belles choses  sont écrites par tous ces écrivains. Leur témoignage, leur biographie exceptionnelle l’émeuvent. Cependant, il sent qu’il ne pourra pas connaître le bonheur intérieur par procuration. Rien ne vaudra le crible de son expérience personnelle.
 
    Au fond, Grigri n’est il pas sur terre pour courir, grimper aux arbres de branche en branche, manger des fruits, se nourrir de noisettes et humer l’air frais printanier, chaque année renouvelé ?Alors, à quoi bon chercher midi à quatorze heures quand le bonheur est parfois si simple ?

Prévoyant / K

 


Manuel de Survie, l'écureuil du coin, était une véritable attraction.

Avec panache, il tirait les couvertures à lui et engrangeait pour l'hiver. 

Comme quoi, près du parc, la boîte à livres faisait au moins un heureux 

LA SIESTE / Tarval

 


L’hiver approche,

Les animaux font le plein de provisions,

Pour tenir jusqu’au printemps,

Leur survie en dépend,

Pour tous les animaux qui hivernent,

Mais au détour d’un chemin dans la forêt,

J’aperçois un écureuil,

Des livres plein les pattes,

Et son abri dans l’arbre en contient déjà beaucoup,

Je suis perplexe,

Comment est-ce possible,

Pourquoi ces livres,

Normalement ce sont des noisettes qu’ils récoltent pour l’hiver,

Et je me demande ce qui se passe.

Que va-t-il faire de tous ces livres,

Se faire un nid douillet,

Avec les livres pour garder la chaleur,

Et passer l’hiver au chaud.

Soudain, je me réveille,

Je faisais une sieste au pied d’un arbre,

Encore les images de mon rêve dans la tête,

Et je regarde quand même si je vois des écureuils,

Mais non, pas d’écureuils en vue.

Je souris en pensant à mon rêve,

Je me dis que si les animaux se mettaient à parler et à lire,

Nous aurions du mouron à nous faire.

Je me lève, ma sieste m’a fait du bien,

Et je continue mon chemin à travers la forêt.


Saugrenu ! / Jill Bill

 



Bizarre, vous avez dit bizarre

Comme c'est étrange... !


Survie, vous avez dit survie...

La nourriture de l'esprit

Passe avant la noisette,

Il est tombé sur la tête Spirou... !?


T'as vu ça Squirrel,

Moui Esquio... !


Il fait dans le mille-feuille...

J'en veux bien une livre, hi hi...


A mon avis, dans la feuille de chou... !


Si c'est pour se chauffer à la mauvaise saison,

Il va foutre le feu à l'immeuble !!!


On est connu et reconnu comme Caisse d'Epargne,

Comme bibliothécaire, du jamais vu !!!


Eh, Spirou... Spirou...

Et dur de la feuille avec ça... !


Retournons à nos noisettes,

Cet hiver, il fera comme la cigale... !!

25 mars 2024

Sujet 86 - Les participants

 





Saugrenu   (Jill Bill)
La sieste   (Tarval)
Prévoyant  (K)
Bonheur d'écureuil  (J.Libert)
Méprise (Fredaine)
Un plan pour l'hiver  (Keremma)
La brouette et l’écureuil (Lothar)
Trésor (Lilousoleil) 

23 mars 2024

Sujet n°86 - Semaine du 23 au 30 mars

 Voici pour cette nouvelle semaine !


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Le mot facultatif   survie

 

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And the winner is... / Keremma


 

Poèmes et commentaires

Elle est toujours en tête de file

Chapeau Jill !


Refaire la mode ! / L'Entille




A chaque saison, c’est un challenge pour se démarquer, aller plus loin, plus haut, plus original.

Cette année le nouveau génie de chez Sganarel confie ses créations à des mannequins sur roulettes. Avec Jack Hunter, il ne suffit plus de savoir marcher, de savoir porter, il faudra aussi savoir roller. Le défilé d’une contemporanéité toute en fluidité s’est fait glissant sur un podium grandeur nature d’une sauvagerie à couper le souffle. Et puisque l’époque est au vintage, les robes avec un faux air de Mary Poppins ont su séduire un public loin d’être acquis à ce jeune talent découvert par la maison de couture. Pourront-elles glisser leur skate dans leur grand sac pour rejoindre un vernissage ou un cocktail ? Vive la mobilité douce pour tout le monde !

L’Hiver dans la chambre / Lothar

 


In media res

Le manteau de la neige descend sous les decks dorés.
Les flocons déboulent aux fenêtres comme des étoiles d’argent.
Des arbres de lumière rêvent pleins de visages d’enfants.

Oui, petite fille, sois cette belle et grande skate rider au regard précis qui
fonce,
calme, en cadence,
qui fonce – de la courbe, dans les bawls et dans les rampes,
avec tout l’art des stances, regular ou goofy, continus du parcours
(et de la planche radicale,
qui reçoit toutes les figures déjà réalisées ou déjà vues),

replongeant les livres, les tablettes pour enfants au sommeil du juste …
et aux stances, regular ou goofy, continus du parcours.

La petite fille a dit à la jolie skateuse
comme la toute petite enfant, en doux sac à malices, qui dit à sa mère :
« Moi aussi ! »

… et c’est elle l’amie de la juge.

L’EMANCIPATION DES FEMMES / Tarval

 


Je restais bouche bée, médusée,

Par tant de grâce et d’habileté,

Ces femmes étaient fantastiques,

Elles virevoltaient sur leurs skates,

Comme des professionnelles,

Sans leur sac à mains,

Outil indispensable pour les femmes,

Qui aiment avoir tout le nécessaire sur elles,

Là, c’était la joie de se laisser glisser sur la route,

Bien sûr c’était une compétition,

Mais c’était surtout le plaisir

De pratiquer un loisir auparavant réservé aux hommes,

Les femmes s’émancipaient, acquérant des droits autrefois interdits,

Et elles en profitaient pleinement,

Avant de retourner faire leur travail,

Mère au foyer en premier lieu,

Mais elles pouvaient aussi être journalistes,

Salariées dans les usines,

Et surtout, en 1944,

Acquérir le droit de vote.

Une nouvelle vie pour les femmes,

Qui n’étaient plus considérées comme des objets,

Mais comme un être humain à part entière.


Sur les planches / K

 


Trois amies s’étaient lassées de la course en sac

D’abord Paulette avait lâché la bicyclette

Colette ensuite avait vendu sa trottinette

Et enfin les patins qu’avait largués Odette

Dormaient fourbus dans un quelconque bric à brac

Le poulailler se disait « oh mais quel micmac »

 

Mauvaises langues au chaud bullant dans leur hamac   

Imaginant des sornettes du tac au tac

Pour les commères à l’affut, fut-ce le couac

Qu’avides elles guettaient depuis belle lurette ?

-Vous savez bien sous la houlette de Paulette

La perdition sera le lot des trois girouettes

Parler sans savoir et travailler du chapeau

Raconter n’importe quoi, c’était du pas beau

 

Les trois s’étaient simplement mises à la planche

Une course, deux, trois, la belle ou la revanche,  

La vitesse grisait, nouvelle sensation  

Le vent de front, c’est une autre paire de manches

Elles descendaient toujours à fond, bille en tête

Les dimanches filaient comme sur des roulettes

 


Les trois sœurs / La Licorne

 



Les trois soeurs Dalton
Dans le grand canyon
Volent sur leur planche
En robe du dimanche
 
Dans la brume du matin
Bandites de grand chemin
Dévorent les kilomètres
Un chapeau sur la tête
 
Comment ça, ça n'va pas ?
ça n'existe pas ?
ça n'existe pas ?
Et...pourquoi pas ???

Le gang des 3 sorcières / Cam

 


.


Au diable les balais ; objet de torture !

Elles ont troqué la planche à repasser au profit de la planche à roulette.

Libre, le vent comme allié, elles foncent sans se retourner.

Ecartez vous réactionnaire de tout bord !

Elles font parties du S.A.C. (sorcières activistes crantées).



Défilé insolite / J.Libert

 



Toutes les trois ont été sélectionnées pour le premier défilé en skate bord de la collection printemps été  2023 de Madame Cécé résidant au nord de l’Angleterre.
 
    Les jeunes femmes n’étaient jamais montées de leur vie sur un skate bord. C’est donc en tremblant  qu’elles ont commencé, voilà plusieurs mois, leur premier entraînement, harnachées de leur équipement de sécurité : casque, lunettes, chaussures.
 
    Mais, aujourd’hui, il n’est plus question que de féminité, d’élégance, de souplesse et de légèreté. Le chapeau capeline a remplacé le casque, la robe moulante et froufroutante en soierie pailletée s’est substituée au  short ou au jean de la sportive.
 
    Nancy roule à l’arrière. Peu lui importe d’arriver en tête au château de Loreti où auront lieu: discours, félicitations et réception. Elle préfère goûter cette sensation de liberté dans sa glissade sur le macadam. Un petit vent matinal et printanier retrousse le bas de sa robe en mousseline et chatouille ses longues jambes de mannequin.
 
    Elle a pris la précaution de fixer son chapeau à l’aide d’un élastique invisible glissé sous la base de son chignon
 
    Nancy a perdu l’habitude d’être aussi libre dans ses mouvements. Sur sa planche, elle se sent presque nue ; pas même son sac à dos qui, jusque là, lui était si indispensable. Ce défilé insolite semble bien risqué mais quelle expérience inoubliable !

Yo / Keremma

 


Un jour, elles ont débarqué pour te prendre toi aussi. Elles pouvaient pas te pardonner d'être la meuf du rider indomptable, d'aimer un skate rat. T'as grindé sur les rails de la préparation intense. T'as entendu ces voix d'ailleurs, te balançant des moves et des encouragements. T'as senti devant toi ces ombres de mecs (aux réflexes de ouf) que tu savais juges et critiques. T'as eu à tes côtés d'autres skateuses marquées par l'effort et la passion, mais l'esprit intact. Et là, t'es déterminée. Direction place de la Concorde pour les JO 2024. Dans tes yeux, ça brûle, genre une pure flamme.

Lettre à mon amie d'enfance / Ninette

 



        Très chère,
        En faisant du rangement, j'ai retrouvé une vieille photo (que je te joins), 
sur laquelle me semble -t-il nous figurons toutes les deux.
Je ne sais plus qui était la troisième mais toi peut-être t'en souviendras-tu... 

        Cétait dans notre village sur les bords de Loire, il y a bien longtemps.
        Nous avions soif de liberté, d'aventure....
        
        Une aprés-midi, alors que nous parents étaient allés à un enterrement à
la ville, nous avions emprunté des planches à roulettes aux garçons (enfin
« emprunté » n'est pas tout à fait juste car nous les avions plutôt pris sans demander
la permission!), nous avions mis nos chapeaux et nous sommes sorties dans la brume
pour tester ces planches. Au début, l'objet fut plutôt « casse-gueule » puis petit à petit
nous l'avons dompté et nous filions sur la route. La ouate nous enveloppait, nous
avions les chapeaux bien fixés sous le menton, les cheveux dans le vent, les jupes
gonflées par le déplacement de l'air...

        Un sentiment de fierté (car nous avions réussi aussi bien que les
garçons), de totale liberté (nous n'avions demandé la permission à personne), de
bonheur (c'est si simple le bonheur!) nous habitait...

        T'en souviens tu ?
        Pour moi cette photo est un peu comme la madeleine de Proust...
        Il fallait que je partage cela avec toi...

                A très bientôt
                                            Ta plus vieille amie

le défi/ Fredaine

 Le défi 





« Bon, les filles, on va la gagner cette course. Ils nous considèrent comme des ménagères tout

juste bonnes à cuisiner, faire le ménage et torcher les gosses, on va leur prouver qu’avec notre

volonté et l’esprit d’équipe, ils ne nous arrivent pas à la cheville. »

Elles avaient découvert l’annonce de la course deux semaines plus tôt, juste avant la clôture

des inscriptions. Mathilde n’avait même pas pris la peine de leur demander leur avis, elle s’était

engagée pour le groupe certaine que toutes seraient partantes ce qui avait été le cas. De toute

façon, voilà des mois qu’elles s’entraînaient à l’abri des regards sur la petite route désaffectée

derrière la carrière, elles savaient avoir le niveau pour participer.

Il n’y aurait pas d’autres équipes féminines. L’organisateur avait d’ailleurs été un peu bousculé

par Mathilde avant d’accepter leur participation. Il avait cédé en se disant qu’elles mettraient de

l’animation et feraient venir du monde à défaut d’être de « vrais concurrents ».

Le jour J était enfin arrivé, elles étaient certaines de gagner. Les autres équipes ne seraient pas

préparées aussi bien qu’elles qui s’étaient mises au défi de remporter la course haut la main.

Elles les gagneraient ces sacs de sport avec équipements complets !

Les frangines/ Jill Bill

 Les frangines




Surréaliste !

Ces femmes ont préféré

La planche à roulette au sac à main...


Je me demande

Si elles repasseront encore !!

Robe vieux jeu mais dans le vent

Ces demoiselles de, Rochefort... !?

Les soeurs Brontë, me dit une voix...

Charlotte, Emily, Anne,

Non, sans blague..... !

Où vont-elles... ?

Dans leur chapelle, magie noire

Me répond la voix...


Dans le lointain sombre elles disparaissent,


Ai-je rêvé, ou pas,

Sur la route de Memphis

Le soleil tape, à en faire toute une histoire...

19 mars 2024

Sujet 85 - Les participants

 





Les frangines (Jill Bill)
Le défi (Fredaine) 
Lettre à mon amie d'enfance (Ninette)
Yo (Keremma)
Défilé insolite (J.Libert)
Le gang des 3 sorcières (Cam)
Les trois sœurs (La Licorne)
Sur les planches (K)
L'émancipation des femmes (Tarval)
L’Hiver dans la chambre (Lothar)
Refaire la mode ! (L'Entille)


+ Texte surprise

16 mars 2024

Sujet n°85 - Semaine du 16 au 23 mars

 Voici pour cette semaine !


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Charivari / Emma

 




Chat hébété / La Licorne

 



Chat blanc, chat roux,

Touriste, tout triste,

T'es peu ou prou

Hors de la piste

Qui t'a quitté ?

Abandonné ?

Quel maître fou

T'a jeté où ?

Quel égoïste

Quel nombriliste

T'a laissé là

T'a laissé las

Seul et perdu

Comme un rebut ?

Sur le trottoir

T'attends le soir

Et dans tes yeux

S'éteint le feu.