Ils
marchaient au milieu des étoiles, leurs pieds légers effleuraient l'infini. On
aurait dit deux anges en équilibre sur le fil d’une constellation. Ils
tissaient une danse dans la galaxie des amants.
Ô
tourbillons, vertige au firmament, ô éblouissement. Aux cimes de la joie, le
soleil aveugla leurs deux pauvres prunelles. Le fil tendu sur fond de ciel ne
porte plus que le poids de leurs désillusions.
La voie lactée n'était pas leur chemin.
Joli rêve puis triste retour à la réalité.
RépondreSupprimerles anges aussi perdent leurs illusions...
RépondreSupprimerTout avait si bien commencé, et puis... On est riche de ses expériences, jill
RépondreSupprimerOn aurait tant aimé que le rêve continue.
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