Le chemin entier donnait
des roses
Ouvrant l’appétit, la porte des héros
Le train du paradis s’ébranlait pour mémoire
Comme un étranger sans l’héritage
Ouvrant l’appétit, la porte des héros
Le train du paradis s’ébranlait pour mémoire
Comme un étranger sans l’héritage
Dans le train de l’étranger
J’ai vu un héros donner une rose ;
Entier comme l’héritage d’un appétit
Le paradis de la mémoire brillait
Il y a eu de ces trains qui n'avaient rien d'un voyage d'agrément, merci, jill
RépondreSupprimerAh ça déraille parfois...
Supprimerpartir pour mourir ?
RépondreSupprimerCela restera sans réponse je pense... même si...
SupprimerUn vrai labyrinthe ferroviaire !
RépondreSupprimerKeremma
Au train où vont les mots, wagons accrochés presque aléatoirement...
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