Il eut beau soudoyer son notaire
Pour fausser l'héritage paternel
Lui qui avait eu un revers de fortune fracassant
Ne sachant que dilapider,
Sempiternel paresseux sur cette planète
Se retrouve à manger de la pomme de terre
Et boire de l'eau, à la théière... en solitaire,
Car tous ont fui sa compagnie, sans le sou... !
Adieu la bonne vie, faux amis, hôtel et casino...
Même un beau vêtement
Pour s'effilocher...
Comme toute saison se tricote et se détricote...
http://jill-bill.eklablog.com
Grandeur et décadence et surtout éloignement des autres quand la misère se pointe à l'horizon. Souhaitons lui de se reprendre en main :)
RépondreSupprimerquand la misère nous tombe dessus les amis s'envolent.
RépondreSupprimerjamadrou
Il avait échoué avec le notaire aussi, il ne réussissait décidément pas grand-chose.
RépondreSupprimer;-)
Voilà qui me rappelle un très beau poème du moyen âge : La complainte de Rutebeuf.
RépondreSupprimerimprudente cigale dans cette fable tristounette- emma
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