Il a eu la trouille de sa vie, Georges,
Sur cette passerelle, la gorge nouée...
Aaah les paris d'un soir,
Entre étudiants éméchés, au comptoir...
Il faudrait une sacrée amnésie pour oublier
La traversée insolite de ce canyon !
Il a fallu y aller, une fois dessoûlé,
Pour ne pas passer
Pour un dégonflé
Et vaincre sa peur du vide
Livide !!
Il avait connu une nuit « sous » un pont
Suite à ces paris au bar parisien
De joyeux boit-sans-soif !
Mais sur un pont branlant,
Au dessus d'un canyon...
Il eut tout l'air d'un âne
Qui refuse d'avancer
Mais que le bâton oblige...
l'âne a parié
RépondreSupprimerl'âne va gagner
l'âne est un animal très doux, qui n'est pas peureux ; il est malicieux, espiègle, intelligent, fidèle, affectueux et facétieux.
j'ai connu un pas cap du haut du grand plongeon
RépondreSupprimerlaura
Le bâton ou la carotte pov'Georges, sous un pont, on est quand même mieux que sur un pont... allez, courage George, c'est un mauvais moment à passer... ou très passer ne veux pas dire s'en sortir... sans sortir des toilettes où la nausée nous accompagne !
RépondreSupprimerGeorges, ça va, sinon ?
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