J’ai toujours eu du mal à faire des choix ce qui bien souvent
m’a menée à un certain immobilisme ou à subir le choix que d’autres avaient
fait pour moi car, ma foi, il faut bien avancer. Non ?
J’avais eu du mal à obtenir cet entretien et je plaçais beaucoup d’espoir dans cette rencontre. Mon avenir se jouait peut-être ce jour-là. Je m‘étais donc soigneusement préparée. La veille, j’avais sorti la tenue que je porterai pour le rendez-vous, je m’étais couchée tôt, avais dormi comme un bébé. Tout se présentait pour le mieux. Bien sur, au moment de m’habiller, la tenue choisie m’a semblée tout à fait inappropriée et je suis partie en laissant toute ma garde-robe étalée sur le lit, pour ne pas dire en tas sur le sol pour finalement partir avec un jean et un sweat... comme d’habitude. J’ai ensuite longuement hésité sur le maquillage, il devait être discret et élégant. Après avoir essayé trois teintes de rouge à lèvres, deux mascaras, je me suis démaquillée et ai opté pour rester naturelle... comme d’habitude.
Là, l’alarme que j’avais programmée pour signaler l’heure limite du départ a retenti. J’ai donc dû faire l’impasse sur le petit déjeuner. Aurais-je opté pour du thé ou du café, des céréales ou des tartines, je ne le saurai jamais... comme trop souvent. Je suis sortie de chez moi un peu en catastrophe et en prenant la première veste qui me tombait sous la main car plus le temps de tergiverser. Dommage, les clés de la voiture étaient dans la veste noire, celle-ci était beige… J’ai donc pris le métro. Au moins je n’aurais pas à choisir LE bon trajet et LA bonne place de stationnement.
Malgré tout, je suis arrivée cinq petites minutes en avance dans le hall de l’immeuble, j’allais donc pouvoir donc respirer et me détendre...
J’avais eu du mal à obtenir cet entretien et je plaçais beaucoup d’espoir dans cette rencontre. Mon avenir se jouait peut-être ce jour-là. Je m‘étais donc soigneusement préparée. La veille, j’avais sorti la tenue que je porterai pour le rendez-vous, je m’étais couchée tôt, avais dormi comme un bébé. Tout se présentait pour le mieux. Bien sur, au moment de m’habiller, la tenue choisie m’a semblée tout à fait inappropriée et je suis partie en laissant toute ma garde-robe étalée sur le lit, pour ne pas dire en tas sur le sol pour finalement partir avec un jean et un sweat... comme d’habitude. J’ai ensuite longuement hésité sur le maquillage, il devait être discret et élégant. Après avoir essayé trois teintes de rouge à lèvres, deux mascaras, je me suis démaquillée et ai opté pour rester naturelle... comme d’habitude.
Là, l’alarme que j’avais programmée pour signaler l’heure limite du départ a retenti. J’ai donc dû faire l’impasse sur le petit déjeuner. Aurais-je opté pour du thé ou du café, des céréales ou des tartines, je ne le saurai jamais... comme trop souvent. Je suis sortie de chez moi un peu en catastrophe et en prenant la première veste qui me tombait sous la main car plus le temps de tergiverser. Dommage, les clés de la voiture étaient dans la veste noire, celle-ci était beige… J’ai donc pris le métro. Au moins je n’aurais pas à choisir LE bon trajet et LA bonne place de stationnement.
Malgré tout, je suis arrivée cinq petites minutes en avance dans le hall de l’immeuble, j’allais donc pouvoir donc respirer et me détendre...
Chère Fredaine,
RépondreSupprimerJ'adore cette plongée dans le chaos matinal avant un événement crucial.
J'attends la suite de ce récit avec impatience
Bien amicalement, Marie Sylvie
La théorie des dominos revisitée. Bravo.
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