- Non, mais j’y crois pas! On ne peut décemment pas faire ça, ça n’a aucun sens. De quoi on va
avoir l’air ? Plus aucun auteur ne voudra se faire éditer chez nous. Et j’imagine la tête de
l’imprimeur...
- On n’a pas vraiment le choix. C’est ça ou c’en est fini des Éditions du Club.
- Comment ça, c’est est fini ? Parle pour toi, il n’est pas question que je baisse les bras devant
l’adversité. Personne ne peut nous dicter notre politique éditoriale ! Tant qu’on y est « La femme
de ménage » de Mc Fadden devient « la technicienne de surface » et « Un bon petit diable »
pourquoi pas « Un petit coquin » ?!!
- Ne prends pas les choses comme ça, tu finiras par t’y faire, finalement ce n’est pas si grave.
De toute façon, elle n’acceptera pas de faire de concessions ; elle me l’a bien dit. C’est ça ou
rien.
- Mais moi je m’en fiche de ce qu’elle pense, de ce qu’elle dit ou veut. C’est ton problème, je ne
veux pas perdre mon âme pour une sainte nitouche en mocassins et socquettes blanches.
- Ne parle pas d’elle comme ça, elle pourrait nous entendre et je ne veux pas de vague.
- Mais là, on ne parle pas d’une vague mais d’une déferlante, d’une véritable tempête qui va se
déchaîner sur nous si on cède à son chantage. Et quand je dis ON je suis gentil, si TU cèdes à
son chantage. On ne va pas changer notre ligne éditoriale chaque fois que tu rencontres une
nouvelle poulette et que tu en tombes raide dingue. Si tu n’es pas capable de t’imposer un peu,
tu l’assumes mais tu ne me demandes pas de te suivre dans tes délires.
- Comprends moi, Marie-Joséphine vient d’une bonne famille, ils ont des principes...
- C’est NON !!! Soit Marie-Joséphine se mêle de ses affaires soit tu quittes le navire.
avoir l’air ? Plus aucun auteur ne voudra se faire éditer chez nous. Et j’imagine la tête de
l’imprimeur...
- On n’a pas vraiment le choix. C’est ça ou c’en est fini des Éditions du Club.
- Comment ça, c’est est fini ? Parle pour toi, il n’est pas question que je baisse les bras devant
l’adversité. Personne ne peut nous dicter notre politique éditoriale ! Tant qu’on y est « La femme
de ménage » de Mc Fadden devient « la technicienne de surface » et « Un bon petit diable »
pourquoi pas « Un petit coquin » ?!!
- Ne prends pas les choses comme ça, tu finiras par t’y faire, finalement ce n’est pas si grave.
De toute façon, elle n’acceptera pas de faire de concessions ; elle me l’a bien dit. C’est ça ou
rien.
- Mais moi je m’en fiche de ce qu’elle pense, de ce qu’elle dit ou veut. C’est ton problème, je ne
veux pas perdre mon âme pour une sainte nitouche en mocassins et socquettes blanches.
- Ne parle pas d’elle comme ça, elle pourrait nous entendre et je ne veux pas de vague.
- Mais là, on ne parle pas d’une vague mais d’une déferlante, d’une véritable tempête qui va se
déchaîner sur nous si on cède à son chantage. Et quand je dis ON je suis gentil, si TU cèdes à
son chantage. On ne va pas changer notre ligne éditoriale chaque fois que tu rencontres une
nouvelle poulette et que tu en tombes raide dingue. Si tu n’es pas capable de t’imposer un peu,
tu l’assumes mais tu ne me demandes pas de te suivre dans tes délires.
- Comprends moi, Marie-Joséphine vient d’une bonne famille, ils ont des principes...
- C’est NON !!! Soit Marie-Joséphine se mêle de ses affaires soit tu quittes le navire.
Eh bien, l'amour fait perdre la tête, et l'homme est faible proie, un NON s'impose ;-) jill
RépondreSupprimerEt si on déconstruisait les femmes ;-)
RépondreSupprimerC'est Marie-Joséphine qui fait les chèques ?
RépondreSupprimerAh... "ne pas faire de vagues" et "ne pas déplaire à Marie-Joséphine"...c'est ce qui nous perdra ! ;-)
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