Inséparables
Edith
et Youki...
Elle
étale ses puces sur le trottoir
Et si
cela ne rapporte pas grand chose
Elle
chantera la môme...
Le
chien dans les bras
Ca
vous attire la sympathie...
Dans
la famille on est pas bien riche
Et
puis y a le père qui boit presque tout les sous !
Au
tableau noir elle préfère l'école buissonnière, Edith...
Elle
préfère la rue, ses p'tits boulots,
L'école,
non elle ne regrette rien...
Pas
même un soupir quand on lui en parle,
La môme
voit sa vie en rose, autrement,
En
haut de l'affiche, un jour...
Sous les pavés.....la voix! Touchant.
RépondreSupprimerTu nous fais un festival ! j'adore ton réalisme et cette façon que le mettre en scène. Avec le sourire
RépondreSupprimerTu as une bonne idée avec ce texte réaliste, à l'atmosphère pleine de belles références..
RépondreSupprimerBien vu et surtout très bien dit
RépondreSupprimerJ'adore ! On l'entendrait presque chanter.
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