Fin
de journée. Tout est calme et tranquille. Les bêtes attendent sagement de
retourner au pré après la traite. Pas l’ombre d’une vie humaine à l’horizon.
Sans doute sont-ils tous occupés aux tâches quotidiennes.
Après
ces heures apocalyptiques, cataclysmiques, d’horreur absolue… Et aussi des
moments de joie et de rire. Ces jours, ces mois, ces années où ni silence ni
solitude n’ont eu droit de cité dans notre vie. Pourrais-je à nouveau un jour
penser au singulier. Tant de temps partagé avec les copains. Tant de souvenirs
en commun qu’aucun de nous ne pourra jamais exprimer. Pas des secrets, juste
indicibles. Ils nous lient plus encore que des liens familiaux.
Ah
toi Dick, tu ne m’as pas oublié ! Tu me fais fête. Tu as toujours su
accueillir les revenants même des années plus tard. Viens là mon beau que je
reprenne le goût du pays.
Deux vies en une pour qui a dû aller en guerre... oui elle a créé des liens.... jill
RépondreSupprimer"Heureux qui, comme Ulysse", a d'abord été reconnu par son chien ! Qu'il est bon ce retour...
RépondreSupprimerapprendre à revivre seul après la fraternité...seul le chien saura ce qui s'est passé
RépondreSupprimerRéapprendre.
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