Je fuis, je fuis, cette orange qui
m’oppresse
J’ai beau me serrer la ceinture
Clandestin, je ne peux résister à
l’envie de la revoir ma compagne de tous les jours
Derrière cette fenêtre aux barreaux
rouillés.
Je vole, je vole, et pourtant cette
orange m’oppresse
J’ai beau être en cavale, je n’ai
qu’une envie la retrouver
Pulpeuse et juteuse, riche en
vitamine qui me donne l’énergie d’exister
Derrière cette fenêtre aux barreaux
rouillés.
Je cours, je cours, et mon manque de
silence et de plénitude se fait sentir
Malgré le bon air de liberté que
l’on respire
A l’extérieur de cette vie emmurée
Cependant…..
Je
file, je file, et suffoque de ces atrocités sous mes yeux
Oui, je suis en déroute et vois les
horreurs de l’humanité.
Que l’on m’apporte mes oranges
Et je retourne derrière ma fenêtre
aux barreaux rouillés
Dans mon insouciance tant aimée.
Promesse avérée.
Un lieu où les oranges sont appréciées
RépondreSupprimeroui et d'ailleurs pourquoi apporte -t -on des oranges ?
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