Sur un tempo diffus et lourd
Ça vibre et traverse les murs
Quels sont ces sons sourds
Qui me rendent patraque ?
Je craque
Faut pas que je me braque
Devant ce mur de briques
Je vais faire un break
Horreur, vois cher
Roderick :
Ta sœur Madeline cadavérique !
Oh je connais ce plan gothique
Sans vouloir paraître prophétique
Filons avant que la baraque
Entière ne se détraque
Et qu’on en jette la clé !
Sauf que ...
Le mur m'a condamné
Au secours, je suis emmuré.
Au secours, je suis emmuré.
Vous parlez d'un beau cauchemar ;-) jill
RépondreSupprimerLe plaisir de jouer à se faire peur !
Supprimer;-)
voilà ce que c'est que de poétiser sur des murs !
RépondreSupprimerPris par la patrouille !
Supprimermeurtre dans l'espace game !
RépondreSupprimerAh oui, il y a de ça finalement ! Bien vu.
SupprimerWouah ! Dans ce tourbillon linguistique, derrière ce mur énigmatique, on est tous prisonniers.
RépondreSupprimerLa chute implacable, mais ce ne sont pas des pierres !
Supprimerune grande claque ! Edgar a encore frappé, bravo
RépondreSupprimeremma
SupprimerOui, Poe !
SupprimerTraduit par Baudelaire c'est magnifique, tiens puisqu'on en parle !