Ma très chère Waudru
Je me permets de vous écrire cette lettre, malgré l'incertitude de son accueil, car les sentiments que j'éprouve pour vous ne peuvent rester plus longtemps enfermés dans le tiroir de mon cœur.
Depuis notre première rencontre, chaque instant passé en votre compagnie a éveillé en moi des émotions que je n'avais jamais ressenties auparavant. Votre présence illumine ma vie de mille éclats, et votre sourire me réchauffe plus que le soleil d’été. Ces derniers mois, j'ai appris à vous connaître et, à travers nos conversations et nos partages, une certitude s'est imposée à moi : je suis profondément amoureux de vous.
Je me souviens de ce jour où nous avons discuté dans le jardin, assis sur ce banc de pierre, à l’ombre des grands arbres. Votre tunique jaune safran flottait dans le doux zéphyr et resplendissait sous la lumière douce de l'après-midi, et je ne pouvais détacher mes yeux de vous. Ce moment restera gravé dans ma mémoire comme un souvenir précieux, un instant où tout semblait parfait. C’est pour cela que j’en ai fait une toile que forcément vous apprécierez.
Chère Waudru, je ne peux plus garder ces sentiments enfermés. Il est temps pour moi de vous dévoiler la vérité, de sortir de l'ombre et d’espérer que tu puisses peut-être partager ces sentiments. Si, en lisant ces lignes, ton cœur ne résonne pas à l'unisson du mien, je comprendrai et respecterai ta décision. Cependant, je devais être sincère et te révéler ce que mon cœur crie depuis si longtemps.
Je vous envoie cette lettre avec l'espoir que vous lirez mes mots avec la même tendresse et attention que celle que j'ai mise en les écrivant. Quoi qu’il advienne, sache que vous aurez toujours une place spéciale dans mon cœur.
Avec toute mon affection
Votre Félix
Après lecture, cela la laisse un brin perplexe.... ;-) jill
RépondreSupprimerUne déclaration d'amour ? .... ;-)
RépondreSupprimerKeremma
Les prémices en tous cas !
RépondreSupprimerLe peintre se lance avec les mots !
RépondreSupprimerUne déclaration ambigüe entre tutoiement et vouvoiement. Il va falloir trancher et franchir le pas
RépondreSupprimererreur de correction de texte. Je reste dans le vous l'époque n'était pas au tutoiement. Avec le sourire mon cher Vegas
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