Aujourd'huit : rendez-vous chez le psy
Il y avait deux écoles :
celle où l'on s'allongeait sur le divan
et où le psy vous écoutait (ou faisait semblant),
en émaillant vos propos de "hum, hum"
afin que vous ne vous arrêtiez pas...
et puis, l'autre, plus moderne,
où vous vous asseyiez devant lui,
où il vous regardait dans les yeux...
La première, freudienne, ne me disait rien qui vaille...
je sentais que j'allais “tourner en boucle”
dans mes problèmes d'enfance,
parler “sans fin” de papa, maman, la bonne et moi...
La deuxième me plaisait et m'intimidait à la fois.
Comment faire pour trouver ses mots
quand la présence de l'autre s'impose autant à vous ?
N'allais-je pas bafouiller, “trembler” ?
Allais-je supporter ce long monologue,
ce “huit clos” à deux ?
Allez, le temps n'était plus à l'hésitation...
Passant par-dessus mes résistances,
je pris une longue respiration et je frappai à la porte.
Chaise ou divan ?
On verrait bien.
celle où l'on s'allongeait sur le divan
et où le psy vous écoutait (ou faisait semblant),
en émaillant vos propos de "hum, hum"
afin que vous ne vous arrêtiez pas...
et puis, l'autre, plus moderne,
où vous vous asseyiez devant lui,
où il vous regardait dans les yeux...
La première, freudienne, ne me disait rien qui vaille...
je sentais que j'allais “tourner en boucle”
dans mes problèmes d'enfance,
parler “sans fin” de papa, maman, la bonne et moi...
La deuxième me plaisait et m'intimidait à la fois.
Comment faire pour trouver ses mots
quand la présence de l'autre s'impose autant à vous ?
N'allais-je pas bafouiller, “trembler” ?
Allais-je supporter ce long monologue,
ce “huit clos” à deux ?
Allez, le temps n'était plus à l'hésitation...
Passant par-dessus mes résistances,
je pris une longue respiration et je frappai à la porte.
Chaise ou divan ?
On verrait bien.
Par expérience aucune des deux formules ne convient ! Aide-toi et le ciel t'aidera !
RépondreSupprimerPas faux...la "clé" n'est sans doute pas dans la méthode...mais dans la personne...(psy qui convient)
Supprimerdans tous les cas la note s'allonge...à l'infini
RépondreSupprimerTout à fait... :-)))
SupprimerA te lire, les huit lettres du mot "confiance" résonnaient en toi.
RépondreSupprimerKeremma
Mouais...
Supprimerplutôt style "je me jette à l'eau et on verra bien"...:-)
L'hésitation à l'infini, ça n'a qu'un temps !
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