Décidément, c’est non.
Je ne sais pas d’où leur vient cette résistance, ils la
pensent sans doute admirable ; peut-être se sont-ils donnés le mot ? Pourquoi
ce silence, comme un refus d’avouer, que craignent-ils, le syndrome doigt/
engrenage/bras ? Ils ont décidé de résilier la résilience, de ne pas
commencer pour ne pas finir ? Je sais je pose trop de questions.
J’en ai vu quelques-uns avant, c’est le panthéon des excuses
à la noix , un tramway nommé désir est resté à quai, les deux font la paire ont
dit être dépareillés, les trois mousquetaires ont rappelé qu’ils étaient en
réalité quatre, le club des cinq au grand complet à fait bloc et motus, les six
personnages en quête d’auteur sont allés voir ailleurs, les sept mercenaires et
leurs boules de cristal m’ont dit tintin sinon on tire (en fait ils se sont tirés),
jusqu’aux huit coups de l’horloge et cette angoisse de n’en jamais finir.
Peu ou pas de commentaires, ça a joué les fiers à bras, les
héros du zéro et de l’infini.
Ah si on y va pas de son plein gré.... ;-) jill
RépondreSupprimerLe dix de pique est d'accord !
Supprimeret jusqu'au 12 coups de minuit...
RépondreSupprimerL'heure fatale...
SupprimerDe toute évidence, et suivant toute logique, c'est un non Katégorique !
RépondreSupprimerKeremma
Un véritable flop.
SupprimerJ'ai du mal à savoir de qui tu parles...
RépondreSupprimermais le texte est très bien construit. Bravo !
Je crois qu'à la fin le psy s'est allongé pour avoir quelqu'un à écouter...
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