Je roule sur une route sinueuse,
Dans un décor vertigineux,
Avec un orage spectaculaire,
Et de nombreux éclairs,
La tempête se déchaine,
Brisant ses chaines,
Et j’ai soudain peur,
Personne sur la route,
Pas le droit à l’erreur,
Je dois faire le parcours,
Je suis pétrifié,
Et là j’ai une révélation,
Ce décor désertifié,
Est une aberration,
Ces monuments que l’on aperçoit,
En fait ne sont pas réels,
Je reste coi,
Et surtout je me réveille,
Encore tourneboulée par mon cauchemar,
Je suis en état de veille,
Et je prends mon coquemar,
Les yeux hagards,
Mon thé me fait du bien,
Et je me sens enfin bien.
un thé ? il devait y avoir un peu d'alcool dans la préparation !
RépondreSupprimerheureusement ce n'était qu'un rêve ! Tu es de la région stéphanoise le coquemar me le suggère. avec le sourire
RépondreSupprimerCela pourrait passer pour un rêve éveillé quand on fait un tour par là-bas, je suppose.
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