Petit bonhomme, tu as fait tes bagages pour quitter l'Absurdie, pour en finir avec les orages à crédit.
Le vert avait pris une teinte étrange et le bleu du ciel était grisé par tant de poubelles amassées.
La terre était devenue trop étroite pour toi qui rêvait d'un monde sans limite et sans toit.
Les couloirs traversés seront semés d'embûches.
Chaque porte te ramènera au départ, s'il te venait l'envie de choisir la facilité du flemmard.
C'est au bout qu'est ta destination.
Auras-tu la force de t'y rendre, en aura tu le temps ?
Tes sacs chargés de vaines vanités, il te faudra abandonner
Marcher plus léger pour ne pas ramener les excréments du passé.
Un nouveau départ, mais bien plus léger... après y arriver ou pas...
RépondreSupprimerSI tu continues Terrien, bientôt, t'es rien ;-)
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