Marc marchait seul, son sac de voyage sur le dos,
Il allait à la rencontre de nouvelles contrées,
Celles qui l’avait déjà vu l’avaient dévoyé,
Il ne se reconnaissait pas,
Il avait son carnet de dévoyage sur lui,
En plus de son carnet habituel,
Il s’était perverti dans les casinos des grandes villes,
Dévorant tout son argent,
Du coup il avait fait la manche pour pouvoir se nourrir,
Mais il n’était pas fier de lui,
Son carnet de dévoyage était déjà bien rempli,
De situations délicates d’où il avait dû sortir,
Son orgueil en avait pris un coup,
Et il espérait que les prochaines rencontres seront plus plaisantes,
A lui de ne pas se dévoyer, il voulait remplir son carnet de voyage,
Avec de beaux souvenirs, pour oublier le reste,
Mais il savait que la partie n’était pas gagnée,
Et que son carnet de dévoyage allait continuer à se remplir,
Il savait qu’il avait un caractère faible,
Qui saisissait toutes les occasions pour le pervertir,
Alors, aurait-il assez de force pour luter ?
L’avenir nous le dira,
En espérant qu’il saura faire face à ses démons.
Eh oui, pas simple si addiction !
RépondreSupprimerCarnet de voyage ou de dévoyage, peu importe, l'essentiel c'est de les remplir de mots, en essayant de faire des phrases. ;-)
RépondreSupprimern'est ce pas dangereux de consigner toutes ses dévoyances ?
RépondreSupprimerAnonyme = emma😡
SupprimerVoyage, dévoyage, le principal pour lui est d'être conscient de son caractère personnel. Je lui souhaite de remplir encore beaucoup de belles pages...
RépondreSupprimerLa partie se gagne avec ce qu'on prend, ce qu'on laisse, bien chaussé sur le chemin. Merci pour ton texte sensible !
RépondreSupprimerK