Tu as brisé mon cadran
hurle l’horloge au temps
et par cette meurtrière
tu me fais grande misère
car je tremble des brisures
qui ravivent les blessures
que le temps, cet assassin,
trace et creuse sur ma peau
pour m’affliger de tous maux
et me rappeler, perfide,
que ne serai plus que rides
jusqu’à la fin de mes jours.
Mais le temps sait aussi que ces rides sont les témoins d'une vie bien remplie.
RépondreSupprimerne pas craindre les rides qui sont le visible des émotions du temps passé
RépondreSupprimereh oui, on n'y échappera pas !!
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