A
quoi penses-tu mon ange devant cet amalgame de mots ?
Te
rappelle-t-il le labyrinthe d’une semaine passée…
Tu
étais perplexe devant ces hommes qui se saluaient cherchant la porte de sortie,
ça se voyait à ton visage.
Ce
jeu d’écriture t’invite à sortir enfin de ta coquille,
Alors
tu en profites pour gribouiller des lignes que tu ratures et recommences,
qui
se mêlent et s’entrelacent, de celles que la main trace
dans l’inconscience
d’une rêverie…
Une
vie semblable chaque jour
Et
le soir quand se lève la brise estivale
Il
ne restera en mémoire
Que
le frisson d’une rose qui s’effeuille.
(c) Josette
L'assemblage des mots est poétique et très agréable à lire. Bravo Josette
RépondreSupprimerUne vie semblable chaque jour: ça n'existe qu'en poésie
RépondreSupprimerLes mots imposés se sont glissés sans bruit dans ta douce poésie
RépondreSupprimerJoli coup de plume avec ces mots imposés !
RépondreSupprimerUne belle inspiration fluide ! Merci.
RépondreSupprimerComme il fait bon de t'y lire Josette ; j'aime beaucoup cette mémoire d'une rose qui s'effeuille.
RépondreSupprimerça, c'est bien joliment dit, et coule tout seul
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