Charles Loquosme relisait le dossier.
Cette enquête avait fini par ressembler à un labyrinthe dépourvu de porte ce qui donnait le sentiment d’être fait comme un rat.
Le limier avait vite saisi que les rapports étaient un invraisemblable amalgame d’erreurs, d’oublis, de manquements, d’incohérences.
Quelques coquilles avaient attiré son attention :
« Le photographe en voiture avait pris un visage trop serré. »
« Le profiter eut beaucoup de mal à dresser un portrait du robot. »
(Qui, on venait de l’apprendre bien des années plus tard par un concours de circonstances, avait fait le coup. C’était pourquoi on rouvrait le dossier)
A la lecture, un frisson lui parcourut la Chine. Ah, c’était contagieux ?
Loquosme n’avait jamais rien feuilleté de semblable.
A n’en pas douter, la mise à jour serait longue et fastidieuse.
Des têtes pourraient tomber.
Et, pour tout arranger, les témoignages tapés à la machine ressemblaient à un gribouillis.
vite un médecin pour l'aider à trouver la solution ...le fils de What par exemple
RépondreSupprimerOn va lui souffler, merci ☺
SupprimerHa! ce Charles Loquosme sait cuisiner les coquilles dans une eau qui frissonne comme en Chine?
RépondreSupprimerjama
Menons l'enquête pour vérifier !
SupprimerC'est pas gagné !
RépondreSupprimerEt ouais, il y a des services qui bossent dans des conditions déplorables.
SupprimerUn peu d'ordre bienvenu ,-)
RépondreSupprimerOui, ça fera pas de mal !
Supprimeroriginal
RépondreSupprimerMerci 😊
Supprimerfichtrement habile, "un frisson lui parcourut la Chine" revoilà le confinement !
RépondreSupprimerBien vu ! Et merci Emma.
Supprimer... une très longue mise à jour, oui ... qui dure et durera ...
RépondreSupprimerIl y a -comme ça- des dossiers pourris !
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