Douceur de ces journées d’été,
émotion qui lui fait du bien.
Au fond du cœur entreposé,
débordement de ce trop-plein.
.
Dans ces marches de l’escalier,
en CONFIDENCE avec l’ami,
monte au cœur de ses pensées ;
soudain, une larme jaillit.
.
Cette porte grande ouverte,
de grands frissons il en ressent.
Il est parti, faut l’admettre.
Rien ne sera plus comme avant.
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Dur, lorsque le fil se casse.
Un jour, comme tu l’as jamais vu,
tu le verras, ça c’est prévu.
Ce jour sera moment de grâce.
le blog de Colette
Oui, il y a ainsi des instants où les personnes disparues nous manquent encore plus qu'à l'ordinaire. Croire en ce moment de grâce doit être une grande consolation...
RépondreSupprimerCela l'est, oui, en effet, Mony. Merci beaucoup à toi ! Bonne semaine.
Supprimerle manque de l'absent et l'espoir de le retrouver !
RépondreSupprimerTout à fait, oui, en effet, Josette. Merci à toi.
SupprimerL'absent, toujours là, qui surgit régulièrement, comme une évidence.
RépondreSupprimer" Car l'espérance est violente... "
RépondreSupprimerton texte me rappelle la chanson de Bécaud "qu'elle est lourde à porter, l'absence de l'ami "
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