Ça commence par un frémissement
Et puis un faible murmure
Quelle est cette confidence
Qui s’insinue dans mon oreille
« Il est cinq heures, Paris s’éveille ? »
Mais ici, ce n’est pas Paris
C’est une vallée inconnue
Perdue dans un coin de verdure
Où chantent les crapauds
Attentive, j’écoute
Le premier trille d’un oiseau
S’élève clair dans l’aube rose
Et perce le silence où naît le jour
Bientôt l’Angélus carillonnera l’heure
Il sera temps de commencer la journée
Attentive aux notes joyeuses du merle
J’écoute s’éveiller le monde
Le blog de lecrilibriste
Quelle quiétude, une quiétude que je connais tous les jours. Cela me parle, heureuse que je suis !
RépondreSupprimercomme une parodie de centons !
RépondreSupprimerQuel matin !
RépondreSupprimerBucolique, serein, c'est où le paradis?
RépondreSupprimerguidé par Dutronc et Arthur, une jolie façon de renaitre au monde
RépondreSupprimerUne poésie apaisante.
RépondreSupprimerCool, zen ,-)
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