Sur la BANQUISE des recommencements,
il glisse de la petite heure du matin,
jusqu’à la dernière heure du soir ;
jour après jour.
Heureux, avec entrain,
semaine après semaine,
année après année ;
toujours le même,
d’une seule âme, d’un seul cœur …
- Alors, cet éternel retour ?
- Bof ! C’est la consigne, patron !
Le blog de Colette.
les heures glissent mais la banquise fond !
RépondreSupprimerOui, oui, oui, Josette ☺...
SupprimerAh, dur le travail à la chaîne !
RépondreSupprimerTout à fait ...
SupprimerHeureux, avec entrain... Ah, si tous les travailleurs pouvaient en dire autant le monde du travail serait moins rude :)
RépondreSupprimerOui, en effet, Mony ...
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