Une petite cantate du bout des doigts
Obsédante et maladroite monte vers toi…..
J’aurais aimé comme toi, aligner des notes, y poser des mots,
galvaniser des foules, leur dire mon amour à Pantin ou à
Göttingen.
Hélas, j’essaie en vain, mes doigts ne sont pas fait pour la
musique, mon oreille hurle quand je touche le clavier.
J’ai fini par vendre mon piano inutile.
J’ai téléchargé tes chansons et les passe en boucle.
Par cette petite cantate, toi la dame brune, tu restes présente.
Avec l’homme en habit rouge, hop là ! nous allons à Nantes ou
au bois de Saint Amand
Peut-être même plus loin encore jusqu’à ce que la joie
revienne.
Par la magie de l’enregistrement, tu ne peux pas nous dire au
revoir et je ne m’en balance pas.
Barbara, la grande Barbara qui vivait ses chansons..... merci, jill
RépondreSupprimerLa femme indissociable de son piano... Dis, quand reviendra-t-elle ?
RépondreSupprimerjoli hommage à notre longue dame brune... j'ai oublié de qui est cette phrase : "La pire plaisanterie que Dieu puisse faire, c'est de faire de vous un artiste, mais un artiste médiocre."
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