Pioncer sur la Tamise
Oui heu ! non nous ne somme pas en Angleterre
Un, deux on pousse ou plutôt on tire
Sapristi et dire que scobie jonathan en 1869 le faisait pour sa femme.
Salsifis de salsifis à cause de lui on promène aussi des hommes
Et mon épuisement est tel que mon corps lâche.
Petite rêverie entre deux clients
Oublier l’effort et prendre du réconfort
Une larme à l’œil
Souffrance physique et d’amour
Souvenir d’autrefois
Et dire qu’avant on faisait voyager les geishas
bel acrostiche
RépondreSupprimerFatigue et rêverie, les clients ne se rendent pas compte !
RépondreSupprimerJ'ai un gros faible pour la seconde strophe que je trouve délicieuse.
RépondreSupprimerPromis! Je ne regarderai plus le pousse-pousse comme un moyen de locomotion ordinaire!
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