Ça faisait une éternité que j’en cherchais une pour lui parler. Face à la mer en plus, lui qui a été marin. C’était l’endroit rêvé, c’est sûr, de là les vagues et le vent lui porteraient les mots que je leur confierai, lui diraient ma peine, lui diraient le manque de lui. Peut-être même l’air du large pourrait-il traduire ce qu’il ne parvenait plus à dire. Enfin, retrouver le lien, laisser s’envoler au loin les silences...
Mais c’est quoi ce b .... ?!!! Qui a bien pu laisser tout ce fatras dans cette cabine ? C’est pourtant évident que ce n’est pas un musée ou une poubelle ou je ne sais quoi ! Il aurait pu se douter le malotru que cette cabine, là, au bord de l’océan, avait une raison d’être, que probablement elle était là pour permettre au vent d’emporter au loin les mots qu’on lui confiait...
Note de Fredaine : la relation avec « Ce que nous confions au vent » de Laura Imai Messina », n’est pas fortuite.
ouverture sur l'océan
RépondreSupprimerC'est vrai qu'un artiste farfelu est passé par là.... ,-) jill
RépondreSupprimerAh, il doit repasser, il a juste délesté se remorque pour un temps. ;-)
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