Toi… Oui toi que voilà
Commissaire-priseur de son état
Pas ragoûtant
Qui a trop souvent malmené les affaires
Vieil avare ergotant
Que diras-tu ici en arrivant
Après avoir quitté le monde des vivants
Es-tu prêt aujourd’hui
A subir la psychostasie
Ne crains-tu pas cette fois si
La valeur adjugée à ton âme pesée
Regrettes-tu ta méchanceté
Parfois même ta malhonnêteté
En espérant être pardonné
Tremble vilain dans l’attente
Que l’angoisse ce jour te tourmente
Descends de ton perchoir
Abandonne ton marteau d’ivoire
Nous sommes les Moires
Ici commence ton purgatoire !
Josette
Tout se paie un jour....
RépondreSupprimerMoire c'est moire. Elles ont la dent dure.
RépondreSupprimerLe pauvre commissaire-priseur s'est fait parquer au purgatoire. ;-)
RépondreSupprimerDes vers pour le véreux.
RépondreSupprimerle juge, au moment suprême
RépondreSupprimerCriait "maman!", pleurait beaucoup
Comme l'homme auquel, le jour même
Il avait fait trancher le cou https://www.dailymotion.com/video/xj121b
Ah ! Ces puissances divines ; pauvre vieux ...
RépondreSupprimerTremblons, il n'y a pas de quoi se réjouir pour cet au-delà...
RépondreSupprimerMony
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