Infidèle, le commissaire-priseur
A tué sa moitié
A coups de bâton, de commissaire-priseur,
(Ni vu, ni connu,
Le crois-tu...)
Ah Dieu lui sera sans pitié !!
Sur son grand calepin
Il l'a condamné au pire,
L'enfer... Dès qu'un matin
Il aura rendu dernier soupir...
Egrotant tu le seras pauvre pécheur,
Le jour, la nuit, je te pointerai du doigt,
Tu le payeras, même de ton vivant...
Dans mes dix commandements
Tu ne tueras point !!
Grisaille que ta vie, je sens que tu prends peur...
un con-damné à perpétuité !
RépondreSupprimerComme quoi il n'y a pas que Mitou ;-)
RépondreSupprimerMoi, je pense qu'il a tué sa moitié par amour, pour ne pas la laisser toute seule sur terre, sachant qu'il n'en avait plus pour très longtemps. Quant à l'arme du crime, ben, il n'avait peut-être que ça sous la main ? ;-)
RépondreSupprimerPeut-être qu'il a fait œuvre pie en supprimant sa moitié. Qui sait elle prenait peut-être trop de place ;-)))
RépondreSupprimerl'enchère est faible, hélas ! emma
RépondreSupprimerLa mauvaise conscience est passée par là, la peur est au ventre. Bien fait pour lui !
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