Sur son nuage, non pas en mangeant des bagels au Philadelphia
mais, en tenant son maillet bien serré comme ça !
Un peu ÉGROTANT, oui, j’en conviens !
Le voilà qui intervient pour en décréter le droit.
De son index tendu, Dieu tente de le rejoindre …
Une voix se fit entendre entre le ciel et la terre :
Oh ! Là ! Tu n’en es pas le juge administratif mon cher !
Desserre les dents et ferme le poing !
Laisse à Dieu ce qui est à Dieu et, à la terre ce qui est de la terre,
Alfred !
Chacun sa place, chacun son rôle !
RépondreSupprimerComme tu l'dis, oui Josette !!!
SupprimerAlors, le paon fit la roue... et Dieu le reste ;-)
RépondreSupprimerC'est un poème de Prévert du recueil "Parole"
Merci Margi, c'est gentil !!!
SupprimerQui va garder les moutons ? Pas gagné.
RépondreSupprimerBonne question !!!
Supprimern'est pas Moise qui veut !
RépondreSupprimerTout à fait, oui, en effet, Emma !!!
RépondreSupprimerSi encore Dieu avait la science exacte...
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