"Aussi cons qu'un bocal autour d'un poisson"
Ça manquait de niveau cette conversation
C'est ce qu'il avait pensé dans le couloir
Où il avait surpris l'échange sans le vouloir
Rien à faire, le néant, il s'était arrêté net
En un rien de temps, quelques pensées en tête :
Un flash un claquement de doigts
Il se souvenait qu’autrefois,
Il avait lu et appris ces vers :
« Le violon frémit comme
un cœur qu'on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! »
Charles, lui, en parlait et savait
Parfaitement ce qu’il faisait
Alors, tout en harmonie jusqu’au
soir
Continuer, dire, répéter, parfaire
Laissons- nous griser en une valse
mélancolique, un langoureux vertige...
Inspiré monsieur K ! Avec le sourire
RépondreSupprimerMerci Lilou.
SupprimerLe néant vaste et noir est une expression de Baudelaire que je n'ai jamais oubliée. C'est du vécu !
Comme quoi surprendre une conversation réanime une pensée passée...
RépondreSupprimerExactement. Comme un écho.
SupprimerUn échange c'est toujours mieux que rien ...
RépondreSupprimerOui, surtout que là, on partait de pas grand chose ;-)
SupprimerParler de tout ou de rien, le néant est à portée de main!
RépondreSupprimerEt parfois les bras nous en tombent !
Supprimer;-)
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