"Si vous ne savez pas pourquoi souvent, sur la plage, les vieux réfrigérateurs en panne sont des rangements imprévus de chaussures jolies. Oyez donc ceci :"
Un soir d'orage, où
Le bruit du tonnerre
Se mêlait à un plastiquage,
Près de la maison de Dumè,
Sur la plage
Dans l’île des frigos, d’où
S’envola soudain l’ennemi.
La chaussure du congel qui,
Qui
De deux clans,
Sous leurs masques vendettés
Était la Cause, la Chose,
La Nostre …
Toi, ô Merta !
Véchju-Gidair
En aïeul prodigue
Tel un ancien Rodrigue,
Au lendemain du dimanche,
La même bouteille avait vidée,
Encore,
Et encore,
En cause,
En l’absence, tombé,
En l’entrée,
Et tut tous ces non, en son nom.
Ma douce,
Des ronces de parapluies
Tombent
Sur notre lit,
Conjuguées.
Toi, ma savate, ma sandale, ma tongue
À la langue si douce,
Je t’aime … sais-tu …
Je t’aime,
Sur la trace de tes pas,
Sur la lignée de Puppulata
La mère de ta mère,
La pointure première.
Dégivré par tes mots,
Appâté doux sous tes casseroles,
Sous tes semelles,
Aimanté grave par tes caresses,
Ma mie,
Ma grolle d’amour,
Tout est possible,
Je ferai fi des différences,
Des apparences,
Des vacances
Sur cette plage …
Encore bien trop loin de nos chats ?

Vous m'en direz tant !! ;-) jill
RépondreSupprimerDes chats-rentaises ? Ah non, des chats-tongues !
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