Par l'hiver affamées
Par ce jour de printemps,
Où poussent les pâquerettes,
On vit courir dans l'herbe, un instant,
Deux corneilles venues faire leurs emplettes.
Par l'hiver, affamées
Elles avaient besoin de reprendre des forces,
Bien plus qu’à l'accoutumée,
Sans chercher à se nourrir d’écorces.
Elles se posent dans ce champ,
Une d'entre elle, a vu des aliments,
Elle s'avance à pas vaillant,
Pour les charger dans son bec, goulûment.
En oubliant de partager,
La nourriture à manger,
Sa compagne devient enragée.
Comme un corbeau, elle va le dénoncer.

Comme quoi la fourmi n'est pas la seule égoïste ! Par contre, Corneille bis, il faut avoir le courage de ses actes.
RépondreSupprimerLe corbeau n'étant ni courageux ni sage
RépondreSupprimerJamais dans un conflit ne s'engage
L'ayant les deux commères
Se disputer leurs vers