A la conquête de frites
Dans le grand pré parsemé de pâquerettes, où l’herbe ondulait doucement sous la brise, deux corbeaux se livraient à une scène digne d’un petit théâtre naturel.
Le premier, le plus téméraire, avançait d’un pas conquérant avec dans le bec un incroyable bouquet de frites, serré comme un trophée. On distinguait même une petite barbouille jaune près de son bec, preuve éclatante de sa gourmandise triomphante.
Il faut dire que les deux compères avaient flairé la bonne affaire : un promeneur s’était installé un peu plus loin pour grignoter, et les corbeaux, experts en stratégie, avaient repéré l’occasion. Ils avaient attendu le moment parfait et… hop ! un petit vol plané, une récupération aussi discrète qu’efficace, et les frites avaient atterri sur la pelouse comme un trésor fraîchement conquis.
Son camarade, plus studieux, fouillait l’herbe comme s’il cherchait un condiment oublié : un grain de sel, une miette de pain ou peut-être un brin de magie culinaire.
À les voir ainsi, on aurait dit qu’ils préparaient un banquet royal, improvisé au milieu des fleurs blanches.
Le soleil semblait complice, jouant à faire briller leurs plumes, tandis que les pâquerettes blanches formaient une audience silencieuse mais enthousiaste.
Et dans ce petit coin de nature, sans bruit et sans chichi, une simple aventure de corbeaux transformait un jour ordinaire en histoire à sourire — celle d’un déjeuner tombé du ciel… ou plutôt, habilement « emprunté » en plein vol.
Dans un grand pré parsemé de pâquerettes, où l’herbe ondulait doucement sous la brise, deux corbeaux se livraient à une scène de théâtre .
Le premier, le plus téméraire, avançait d’un pas conquérant avec dans le bec un incroyable bouquet de frites, serré comme un trophée. On distinguait même une petite barbouille jaune près de son bec, preuve éclatante de sa gourmandise .
Il faut dire que les deux compères avaient flairé la bonne affaire : un promeneur s’était installé un peu plus loin pour grignoter, et les corbeaux, experts en stratégie, avaient repéré l’occasion. Ils avaient attendu le moment parfait et… hop ! un petit vol plané, une récupération aussi discrète qu’efficace, et les frites avaient atterri sur la pelouse comme un trésor fraîchement conquis.
Son camarade, plus studieux, fouillait l’herbe comme s’il cherchait un condiment oublié : un grain de sel, une miette de pain ou peut-être un brin de magie culinaire.
À les voir ainsi, on aurait dit qu’ils préparaient un banquet royal, improvisé au milieu des fleurs blanches.
Le soleil semblait complice, jouant à faire briller leurs plumes, tandis que les pâquerettes blanches formaient une audience silencieuse mais enthousiaste.
Et dans ce petit coin de nature, sans bruit et sans chichi, une simple aventure de corbeaux transformait un jour ordinaire en histoire à sourire,
celle d’un déjeuner tombé du ciel… ou plutôt, habilement « emprunté » en plein vol.
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