LE COSMONAUTE
Rentrer dans une lecture,
S’identifier à un cosmonaute,
Partir en villégiature,
En restant dans son fauteuil sans faute,
Est-ce de là de l’uchronie
A moins que ce soit de l’utopie.
C’est un rêve qui vous transporte,
Vous voilà en habit de spationaute,
Et votre imaginaire vous transporte,
Dans la stratosphère la plus haute.
Mais voilà une turbulence,
Il y a quelqu’un qui sonne à la porte,
C’est le facteur qui vous apporte,
Cette note de discordance.
Vous n’êtes pas en scaphandre,
Voyageant entre les étoiles,
Il ne faut pas vous méprendre,
L’irréel se déchirant comme un voile.
Je ne me suis pas méprise et j'ai apprécie Merci François
RépondreSupprimerToujours un fâcheux, briseur de rêve...
RépondreSupprimerle réveil sonne ...comme le facteur !
RépondreSupprimerAh la piqûre de rappel. Dommage on était bien.
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