Sur la place écrasée de soleil
Une fille s’est mise à danser.
Elle danse sans s’arrêter.
Son ombre imite soudainement
Le moindre de ses mouvements.
Son double se déploie, s’allonge, se prolonge,
La devance, la regarde de côté,
La suit, la poursuit
Et jamais ne se lasse.
Mais un souffle d’air, un vent léger,
Un nuage qui passe
Et l’ombre s’est retirée.
l'ombre peut être fugace...
RépondreSupprimerUn pas de danse de l'ombre à la lumière!
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