Ce qui attire le
chien peut paraître accessoire.
Quoi ? Ce
lampadaire se prend pour un oiseau ?
Il en effraie ses
nouveaux congénères.
L’auteur aurait
dû veiller au grain, stylo ouvert, prêt, comme on a le doigt sur la gâchette.
On en est loin,
hélas.
En retard déjà
pour l’équinoxe du 20 mars, il mise tout sur le 23 septembre. Facile. Il
faudra mettre les solstices dans le coup.
La montgolfière
chargée du ravitaillement en cartouches d’encre rencontre des courants aériens
contraires qui lui donnent du fil à retordre.
Isolée, la
petite fille au parapluie rouge chemine sur son propre récit. Décidément y a-t-il
dans l’air quelque chose qui cloche
?
Tout cela parce
que le mug qui fuit s’est levé du pied gauche ?
Possible qu’à
ce rythme, le livre ouvert soit bientôt inondé sur sa page de gauche, que la
reliure finisse par se décoller et que l’histoire s’achève en lambeaux sur un chemin
détrempé et boueux.
Le parapluie de
la petite fille ne lui sera à priori d’aucun secours.
Le chien peut-être ?
quand le mois d'août commence avec un temps de chien on peut s'attendre à tout
RépondreSupprimerEn pareil temps de chien, on cherche l'os : le parapluie. !
SupprimerCafé qui coule...
RépondreSupprimerpas cool !
Et n'amasse pas mousse !
SupprimerThé qui sèche
Dépêche !
Dans ces instants, compter sur quelqu'un voire quelque chose ;-) JB
RépondreSupprimerS'accrocher à la montgolfière !
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